UN QUART (26%) DES BELGES AIMERAIT TESTER DES FORMES PLUS HARD DE RELATIONS SEXUELLES
@ Kelly
Trois compatriotes sur dix considèrent le BDSM (l’abréviation de bondage, domination, sadisme et masochisme) comme une forme parfaitement saine d’intimité et/ou de sexualité. Cette proportion est en augmentation de 5% par rapport à 2019, lorsque la même question leur a été posée dans le cadre d’une enquête de Babylon Loveshop, la boutique érotique online et offline.
CETTE TENDANCE TRANSPARAÎT CLAIREMENT dans les chiffres de vente de la gamme du groupe Babylon Loveshop. 17% des achats réalisés dans ce groupe se portent sur la catégorie Fetish & BDSM. Et un client sur trois a déjà acheté un produit issu de cette catégorie. Raison pour laquelle Babylon Loveshop offre dans ses boutiques une place aussi importante à ces pratiques. Car c’est aussi une bonne occasion pour les personnes non initiées à ces fantasmes hors du commun de pouvoir découvrir cela de leur propres yeux dans les rayons, avec l’opportunité de poser toutes leurs questions aux équipes, des plus techniques aux plus intimes. L’étude révèle aussi que deux tiers des Belges ne voient aucune objection à ces pratiques, pour autant que les deux partenaires y consentent. Pour répondre à cette demande croissante, Babylon Loveshop organise des ateliers pour les personnes désireuses de découvrir le monde passionnant du bondage et du fétichisme.
NOUS SOMMES MOINS PRUDES, L’ENQUÊTE LE PROUVE! L’enquête menée par Babylon Loveshop révèle que seulement 27% des Belges estiment que le sexe est encore un tabou dans la société actuelle. L’état d’esprit à l’égard des jeux sexuels a aussi évolué positivement. Six répondants sur 10 estiment que les jeux d’alcôve donnent davantage de piquant à la vie sexuelle et considèrent qu’il est tout à fait normal de s’y livrer. De nombreux Belges sont demandeurs de davantage d’excitation: 60% d’entre eux affirment que leur vie sexuelle pourrait être plus ‘épicée’.
DURANT LA PANDÉMIE, CERTAINS BELGES SE SONT MIS À CUISINER, d’autres à faire du sport, et d’autres encore ont réinventé leur sexualité. Les jeux sexuels se vendent désormais comme des petits pains, mais aussi les articles BDSM. Près d’un quart des Belges utilisent du matériel de bondage (menottes, cordes, etc.), ou s’y intéressent. En 2019, cette proportion n’était que de 18%. Notre calendrier de l’avent ‘Feel the magic shiver’, qui contient des sex-toys et des accessoires de soft-bondage, connaît un grand succès. 🔴
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